Entraide, l’ADN de l’ANEF
Pour survivre en déportation, durant la seconde guerre mondiale, des femmes vont s’entraider, au-delà de leurs différences.
C’est de cette expérience profondément humaniste qu’est née l’ANEF. Sa fondatrice, Marguerite-Marie Michelin, revient de déportation avec le projet de venir en aide aux femmes en difficulté, « d’accompagner les personnes vulnérables pour promouvoir une société plus juste et équilibrée ».
Écoute, une question de dignité
Tous les services de l’ANEF, sont marqués par cette vigilance qui consiste à accompagner dans la bienveillance.
Être travailleur social à l’ANEF, ça n’est pas exercer un pouvoir, ça n’est pas dicter une conduite. Tout au contraire, il s’agit de réactiver le ressort humain. Aider l’autre à retrouver en lui-même, les ressources qu’il croyait avoir perdues.
« Tout ce que tu fais pour moi, sans moi tu le fais contre moi. »
Proverbe africain
Partenariat, un réseau de compétences
Sans jamais outrepasser son rôle, l’ANEF se pense comme un fil rouge qui met en relation des partenaires qualifiés.
Que ce soit sur le terrain médical, juridique, etc. les champs de compétences sont variés dès lors qu’il s’agit d’aider des personnes en détresse. L’ANEF sait très bien qu’elle ne peut agir efficacement sans le concours de ses partenaires. Ici aussi, l’entraide fait sens.